J'irai voir les étoiles
Guillaume nous a quittés un jour de mars 2013, après deux ans et demi d'un combat magnifique contre une leucémie aiguë. Il était notre fils. Il avait 24 ans. J'ai décidé d'écrire ce livre le dernier jour de sa vie. Il nous a parlé, ce jour-là, avec tant de bonté, de douceur, de sagesse que je me suis dit : « Ce n'est pas possible, c'est un trop bel exemple d'amour, je dois le raconter. » Quand je parle de lui, j'ai l'impression que je le fais revivre. Ce livre est aussi un enseignement au jour le jour autour d'un malade, et une réflexion sur quelques débats de société qui n'ont pas manqué d'affleurer autour de la maladie : les enjeux politiques et commerciaux dans l'attribution des médicaments, le rôle des médecins dans l'accompagnement des patients, la place de la religion ou encore le rôle d'Internet. Guillaume nous a appris que l'amour, s'il ne gomme pas la maladie ni la mort, peut les transcender.à travers ce livre, je veux qu'il laisse une trace.
Guillaume nous a quittés un jour de mars 2013, après deux ans et demi d'un combat magnifique contre une leucémie aiguë. Il était notre fils. Il avait 24 ans.
J'ai décidé d'écrire ce livre le dernier jour de sa vie. Il nous a parlé, ce jour-là, avec tant de bonté, de douceur, de sagesse que je me suis dit : « Ce n'est pas possible, c'est un trop bel exemple d'amour, je dois le raconter. » Quand je parle de lui, j'ai l'impression que je le fais revivre.
Ce livre est aussi un enseignement au jour le jour autour d'un malade, et une réflexion sur quelques débats de société qui n'ont pas manqué d'affleurer autour de la maladie : les enjeux politiques et commerciaux dans l'attribution des médicaments, le rôle des médecins dans l'accompagnement des patients, la place de la religion ou encore le rôle d'Internet.
Guillaume nous a appris que l'amour, s'il ne gomme pas la maladie ni la mort, peut les transcender.
à travers ce livre, je veux qu'il laisse une trace.