La décompression, des solutions après le krach
L'espoir est le premier « mot d'économie » que doivent apprendre les jeunes générations! Paradoxe dans cette période où s'accumulent les mauvaises nouvelles ? Pas tant que cela. Il est vrai que les enfants d'aujourd'hui ne vivront plus jamais comme leurs aînés, il est vrai que la gravité de la crise oblige à une refondation complète du système économique international. Et alors ? nous dit Philippe Dessertine, est-ce si grave de devoir inventer de nouveaux paradigmes, de proposer d'autres fonctionnements, moins stressants, plus tournés vers l'humain, vers son accomplissement ?Notre chance est peut-être de ne plus avoir le choix.La dette mondiale atteint des niveaux tels qu'il ne sera plus possible d'attendre davantage pour y faire face. Les avertissements montent sans arrêt des marchés, des agences de notation, pour exprimer toujours la même exigence : remboursez ! Cela tombe bien ; l'autre compte à rebours, celui du dérèglement climatique nous oblige aussi à penser, à consommer différemment. Nous avons dix ans pour faire les choix engageant un avenir bien plus lointain. Décennie cruciale à l'échelle de la planète, où la finance, la technologie, le social, la mondialisation, la démographie doivent être intégrés dans un même raisonnement. Dans cet ouvrage, aucune dimension n'est occultée ; aucun tabou, aucune censure ne restreignent le diagnostic ou les propositions. La démarche est décapante, elle est aussi dérangeante pour tous. Oui, les solutions existent pour que l'espoir demeure entier, elles doivent être envisagées avec lucidité - et enthousiasme !
L'espoir est le premier « mot d'économie » que doivent apprendre les jeunes générations! Paradoxe dans cette période où s'accumulent les mauvaises nouvelles ? Pas tant que cela. Il est vrai que les enfants d'aujourd'hui ne vivront plus jamais comme leurs aînés, il est vrai que la gravité de la crise oblige à une refondation complète du système économique international. Et alors ? nous dit Philippe Dessertine, est-ce si grave de devoir inventer de nouveaux paradigmes, de proposer d'autres fonctionnements, moins stressants, plus tournés vers l'humain, vers son accomplissement ?
Notre chance est peut-être de ne plus avoir le choix.
La dette mondiale atteint des niveaux tels qu'il ne sera plus possible d'attendre davantage pour y faire face. Les avertissements montent sans arrêt des marchés, des agences de notation, pour exprimer toujours la même exigence : remboursez ! Cela tombe bien ; l'autre compte à rebours, celui du dérèglement climatique nous oblige aussi à penser, à consommer différemment. Nous avons dix ans pour faire les choix engageant un avenir bien plus lointain. Décennie cruciale à l'échelle de la planète, où la finance, la technologie, le social, la mondialisation, la démographie doivent être intégrés dans un même raisonnement. Dans cet ouvrage, aucune dimension n'est occultée ; aucun tabou, aucune censure ne restreignent le diagnostic ou les propositions. La démarche est décapante, elle est aussi dérangeante pour tous. Oui, les solutions existent pour que l'espoir demeure entier, elles doivent être envisagées avec lucidité - et enthousiasme !