Une femme simple et honnête
« Robert Goolrick accomplit avec son premier roman un petit miracle », Boston Globe« Une sublime ballade meurtrière », Kirkus Review
Wisconsin, automne 1907.
Sur un quai de gare, Ralph Truitt, magnat local craint et respecté, attend un train en retard alors que s'annonce une tempête de neige. Ce train renferme son dernier espoir, une promesse de bonheur et d'harmonie retrouvée. Ralph Truitt a placé plusieurs mois auparavant une annonce dans un journal de Chicago, dans laquelle il a écrit qu'il était à la recherche d'une femme fiable, ayant renoncé aux illusions romantiques, mais sachant apprécier le confort d'un foyer.
Dans le train, Catherine Land s'apprête à le rencontrer. Elle lui a répondu qu'elle était cette femme simple et honnête qu'il appelait de ses vœux. Pour mieux l'en convaincre, elle se débarrasse de ses derniers atours de courtisane et se déguise en cette épouse modèle qu'elle compte bien incarner à la perfection, le temps de parvenir à ses fins.
Une femme simple et honnête est un premier roman étourdissant par son art de la narration et la qualité de sa prose. Il a été comparé aux états-Unis à Jane Eyre ou aux Hauts de Hurlevent, des sœurs Brontë.